Charlevoix: Via ferrata entre ciel et neige

Saint-Siméon) Casque sur la tête, harnais à la ceinture et raquettes aux pieds, nous voilà prêts pour la conquête, en via ferrata, des Palissades de Charlevoix, un mur de roc de 4 km de long et de plusieurs centaines de mètres de hauteur émergeant du Bouclier canadien, à 12 km de Saint-Siméon, dans Charlevoix.

Nerveux? Oui. Il fait un froid de canard et marcher entre ciel et terre, ça ne me rassure jamais totalement. Cependant, je suis entre bonnes mains. Mon guide est François-Guy Thivierge en personne. Oui, l'homme qui a conquis les sept plus hauts sommets des sept continents, en plus d'atteindre les deux pôles. Accessoirement, cet alpiniste chevronné est aussi propriétaire d'Aventurex, entreprise qui gère ce site merveilleux. Malgré son statut de vedette, ce passionné ne rate pas une occasion de partager son amour de la montagne.

Depuis l'aménagement de la via ferrata en 2003, cette activité connaît un succès foudroyant en été, mais peu de gens savent que ce parcours ferré demeure accessible aux aventuriers en toutes saisons. «C'est sûr qu'en hiver, on accueille moins de monsieur et madame Tout-le-Monde, sauf qu'on rejoint des gens plus coriaces qui veulent apprendre à vaincre le froid. Par exemple, beaucoup de gens viennent ici avant de partir à la conquête du Kilimandjaro. Ça constitue une étape dans leur entraînement», raconte le guide.

À partir de l'accueil, il faut faire une marche en raquette pour s'approcher de l'entrée du parcours ferré, orienté franc sud. Par la suite, on s'attache au câble d'acier pour grimper, en zigzaguant, ce mur de roc, empruntant autant que possible terrasses et balcons naturels. Perchés entre ciel et neige, les participants en ont plein la vue, leur regard embrassant la vallée enneigée. La traversée d'un pont suspendu de 60 mètres de haut constitue le point culminant du parcours.

Aucune expérience requise

Accessible aux personnes de 14 ans et plus, la via ferrata ne requiert aucune expérience. En mode hivernal, cinq heures d'effort sont nécessaires pour compléter l'activité, qui inclut aussi deux tyroliennes de 250 mètres, une descente en rappel sur une paroi de 70 mètres de haut et une pause lunch, ainsi que le temps d'approche en raquette et le retour.

Pour s'y aventurer sous la neige, il faut être un minimum de huit personnes, mais on peut jumeler les groupes pour faire des sorties. Pour les gens à l'épreuve de tout, la conquête hivernale des Palissades ne se mesure à rien d'autre. Juste un bonheur extrême de faire un autre pied de nez à l'hiver.

Et c'est peut-être, qui sait, votre première étape vers le Kilimandjaro.

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Merci Martine. Intéressant ce sujet.

J'ai un couple d'ami qui aime ce genre d'excursion.
À toutes les années ils visites un coin ... en raquette !
L'an passé ils sont allés dans le parc national de la Gaspésie, Les Chic-Chocs.
Et cette année, ils ont pris la direction du Lac St-Jean pour explorer les montagnes en raquette.


Plusieurs endroits offrent ce genre de randonné pour les aventureux.

Je leur suggèrerai Charlevoix pour l'an prochain !

Super si ça a pu t'intéresser, j'ai vu aussi que chez nous dans les Alpes ça se pratiquaient, une belle ballade en raquette et tu passes la nuit dans un refuge.
Le repas était typique montagnard, et il y avait une veillée comme ça se faisait autrefois, il y avait un conteur.

C'est super !

Pour moi, ce n'est pas une activité que j'aimerais faire.
Je ne suis pas assez en forme pour faire ça. ... En plus ... j'ai peur de mon ombre et encore plus des ours ! Même si je sais que les ours dorment l'hiver .... je crains pareil.

Par contre, j'aime beaucoup lire des récits d'aventures en montagne ou dans le grand nord ... bien emmitoufflée sur mon divan avec une bonne tasse de thé !

Je vais imprimer cette page pour mes amis.

Moi j'aimerai bien mais seulement pour la sortie en raquette chez nous dans les alpes, une belle promenade, pas d'escalade, la nuit dans le refuge avec un bon repas, une belle soirée et le lendemain on redescend et pour les ours il n'y en a pas.
Ils en ont réintroduit dans les Pyrénées, mais il n'y en a pas beaucoup.

Pas pour moi non plus!!!

Vous ne viendriez pas faire une belle balade en raquette dans les Alpes avec moi, puis passez une nuit dans le refuge, on ne ferait que papoter et on empêcherait les autres de dormir.

Hihihi ! O.K. ça me tente !

Mais à une seule condition ! Je marcherais entre toi et Nicole .... pour être certaine de ne pas me faire manger par un ours !

Vous seriez en quelque sorte mon bouclier !

Il n'y pas d'ours dans les Alpes, je te l'ai déjà dit, seulement dans les Pyrénées.
Rien à craindre, à part voir des marmottes, des bouquetins, et des autres petits animaux, pas de danger.
D'ailleurs ils auraient peur de nous.

Pas de Grizzlis comme chez vous.

pas grave ... je marcherais pareil entre vous deux !

.... Je ne prends pas de chance car pour moi les Alpes et le Pyrénés ... c'est pareil !

Non, pas pareil, les Alpes et les Pyrénées, c'est assez loin, l'un de l'autre.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Haaaa bin oui, r'garde don'ça ! C'est pas dans le même boutttttte !

Merci Martine de m'avoir montré.

Eh eh, Martine, elle a trouvé et elle a montré à la tite dame du petit du sucre d'érable et des caribous et de la belle Céline et de son René.

Té folle !



... La tite Madame au bon Camembert-foie gras de Picardie et des châteaux de princesses à n'en plus finir de son .... de son .... Johnny Holliday !



J'suis aussi folle que toi, hein ? !!!

Oui même un peu plus, non, je crois que oui

Bon l'administrateur sera content que ça délire grave.

Bon se calme tite dame du Saint laurent, c'est un peu plus classe que ton camembert, même si c'est bon.

Oui, on se calme le pompon ! Car nous sommes rendues beaucoup plus loin que Charlevoix !




Bonne journée,