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 Colombie: quand la plage et la culture font bon ménage

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Arawak
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Arawak


Localisation : Doornik (Belgikistan)

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MessageSujet: Colombie: quand la plage et la culture font bon ménage   Colombie: quand la plage et la culture font bon ménage Icon_minitimeLun 10 Oct - 6:27

Colombie: quand la plage et la culture font bon ménage 384887-vieille-ville-decor-carte-postale

Carthagène

Si on va dans le Sud, c'est pour prendre du soleil, lire, se reposer ou faire la java. Et certainement pas pour visiter des musées, des galeries, des vieilles pierres.
Mais au fait, qui a dit cela? Certaines destinations soleil, pas très nombreuses il est vrai, réussissent à combiner culture et détente. Carthagène est de celles-là. Pour passer des vacances différentes et faire autre chose que bronzer idiot, comme disent les Français, cette magnifique ville de Colombie fera parfaitement l'affaire.

Carthagène détient en effet ce rare privilège d'être bâtie les pieds dans la mer des Caraïbes, tout en étant un joyau colonial espagnol en terre d'Amérique. Devant nous la plage, les vagues. Derrière, plus de huit kilomètres de remparts qui délimitent un joyau classé au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Les trois Carthagène

En fait, il y a trois Carthagène. La première, on ne fait que la deviner en atterrissant: c'est la «vraie» ville, celle de 1,1 million d'habitants, bruyante, hyperactive et pas très rassurante. Quand on monte à la forteresse de San Felipe de Barajas, c'est celle-là qu'on entend respirer, entre deux coups de klaxon et une musique tonitruante qui monte jusqu'au couvent de la Popa.

La vieille ville, elle, est autrement plus sage. Ses 14000 habitants vivent comme protégés par les remparts érigés par les Espagnols à l'époque du commerce de l'or et des esclaves. «Cartagena de Indias» en conserve des églises magnifiques, de grandes places remplies d'amuseurs publics, des ruelles où s'alignent les maisons aux couleurs pastel, ornées de balcons suspendus. D'excellents restaurants, des hôtels de luxe, de la musique partout, des musées, des galeries innovantes... On peut y passer une semaine sans s'ennuyer, pour peu que l'histoire et l'art nous intéressent. On pense, par exemple, au Palais de l'inquisition, à la cathédrale San Pedro Claver et au musée d'art voisin, aux sculptures de Botero. Entre autres.

Bocagrande, enfin, c'est le quartier moderne, clinquant de Carthagène. Ici, c'est une succession de grandes tours en front de mer comme on en voit un peu partout. La plupart des tout-inclus proposent un hébergement dans cette zone, où boutiques, restos modernes et boîtes de nuit se succèdent. On est à distance de marche de la vieille ville, mais on peut aussi prendre un des innombrables taxis qui, pour un tarif fixe très bon marché, vous amèneront au centre historique.

Tant le vieux Carthagène que Bocagrande sont des endroits très sûrs. Les précautions d'usage s'appliquent ici aussi évidemment, mais la surveillance policière massive et l'omniprésence d'une foule bon enfant nous font nous sentir en toute sécurité. Les vendeurs de «bébelles» sur la plage sont le seul mini-désagrément du séjour. C'est dire. On s'attend pourtant à pire dans ce pays qui traîne une réputation de grande violence en raison des activités terroristes des FARC. Mais les révolutionnaires ne sont plus que l'ombre d'eux-mêmes depuis un bon moment déjà, et de toute façon, ils n'ont jamais sévi dans cette région touristique.

Une presqu'île séduisante

À Carthagène, la plage est correcte, sans plus. Et il faut traverser un grand boulevard un peu décrépit pour y arriver. Ceux qui le peuvent auront intérêt, pour le volet sable, à se rendre à la presqu'île de Baru. Il faut compter entre une heure et demie et deux heures de mauvaise route pour y parvenir, incluant un petit bateau passeur plutôt folklorique. Mais une fois sur place, les efforts sont récompensés.

Le tout inclus où les Québécois sont le plus susceptibles de se rendre est neuf, confortable, propre. Une plage de sable blanc, des marécages de mangliers, une grande variété de poissons et d'oiseaux, des couchers de soleil magnifiques. Baru est une sorte de carte postale vivante, très prisée par les riches Colombiens eux-mêmes.
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