Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les hommes sont
plus heureux ?
Jouons au misogynes...
-Leur nom de famille ne change pas.
-Ils ne peuvent jamais être enceinte.
-Les mécaniciens leur disent la vérité.
-Ils n'ont jamais à conduire jusqu'à une autre station essence
pour faire pipi parce que les toilettes de la précédente étaient trop dégueulasses.
-Ils ne sont pas obligés de réfléchir au sens dans lequel un écrou doit tourner.
-Même travail et ils sont plus payés.
-Les rides leur donnent de la personnalité.
-Robe de mariée €2,000, location de smoking €50 .
-Les gens ne fixent pas leur poitrine quand ils leur parlent.
-Les chaussures neuves ne leur donnent pas d'ampoules.
-Une seule humeur et c’est la même tout le temps!
-Les conversations téléphoniques sont finies en 30 secondes. (c'était avant le portable)...
-Ils n'ont besoin que d'une valise pour des vacances de cinq jours.
-Ils peuvent ouvrir eux-mêmes leur pot de confiture.
-Le moindre geste agréable de leur part leur vaut de la reconnaissance.
-Si quelqu'un a oublié de les inviter, cette personne peut quand même rester leur ami(e).
-Leurs sous-vêtements coûtent au plus €15. pour un paquet de 3.
-Trois paires de chaussures sont plus que suffisantes.
-Ils n'ont presque jamais de problèmes de bretelles en public.
-Ils sont incapables de voir si leurs vêtements sont froissés ou tachés.
-Tout sur leur visage reste de la même couleur tout le temps.
-Les frites, le chocolat, les viandes en sauce, le pain avec la pizza ne leur posent aucun problème.
-La même coupe de cheveux dure des années, peut-être même des décennies.
-Ils n'ont que leur visage à raser.
-Ils peuvent jouer avec des joujoux toute leur vie.
-Un seul sac ou portefeuille et une paire de chaussures peu importe la couleur.
-Une seule couleur pour toutes les saisons.
-Ils peuvent se promener en short, quel que soit l'état de leurs jambes.
-Ils peuvent s'arranger les ongles avec un canif de poche.
-Ils ont le libre choix concernant le port d'une moustache.
-Ils peuvent faire les courses de Noël pour 25 personnes en 25 minutes le 24 décembre.
Et on continue de se demander pourquoi les hommes sont heureux. -----------------
Ce texte a été lu dans des lycées américains par Bill Gates...
A méditer par nos ados...et surtout à lire au second degré.....1: La vie est injuste autant t'y faire maintenant !!
2: le monde se fiche que tu te sentes bien dans ta peau. Le monde attend que tu fasses tes preuves. Tu te sentiras mieux dans ta peau APRES.
3: Non, tu ne gagneras pas beaucoup d'argent dès ta sortie de l'école. Tu ne deviendras directeur de société avec un téléphone dans ta voiture que quand tu l'auras mérité.
4: Si tu trouves que tes profs sont durs, attends d'avoir un patron.
5: Les petits boulots ne sont pas dégradants. Tes grands-parents appelaient cela autrement: ils apppelaient çà "se créer des occasions".
6. Si tu te plantes, ce n'est pas la faute de tes parents. Alors arrête de geindre et tire la leçon de tes erreurs.
7: Avant ta naissance, tes parents étaient moins barbants qu'aujourd'hui. Ils sont devenus comme çà en payant tes factures, en faisant ta lessive et en t'écoutant raconter comment t'es cool. Alors avant d'aller sauver la forêt tropicale ravagée par les parasites de la génération de tes parents, commence par ranger ta chambre.
8: Il n'y a peut-être plus de perdants et de gagnants à l'école, mais dans la vie oui, il y en a plein. Dans certaines écoles, on passe toujours "quand même". On te donne la possibilité de refaire les interrogations jusqu'à ce que tu "aies juste". Ceci ne ressemble en RIEN à la vraie vie.
9: La télévision, ce N'est PAS la vraie vie. Dans la vraie vie, les gens doivent quitter la cafétéria et le flipper pour aller à des vrais boulots.
10: A l'école sois sympa avec le mec pas cool qui passe son temps à bosser. Il y a beaucoup de chances qu'un jour tu doives travailler pour lui.
Et si t'as pu lire ceci dis merci à tes parents et à tes profs !!
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A la maternité.
-T'en fais une de tête...tu n'es pas heureuse....Avoir des jumelles...deux jolies têtes blondes comme leur maman.
-C'est que je ne sais pas qui est le père de la deuxième.
(vous avez deviné que c'étaient deux blondes qui causent) hm hm
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Deux mémés papotent:
- Quand on était jeunes ont voulait toutes ressembler à Brigitte Bardot.
- On a mis le temps mais maintenant on y est arrivé, enfin.
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Nés entre les années 1930 et 1950 NOUS sommes plus forts !(enfin, ça m'arrange
)
Premièrement, nous avons survécu à l'accouchement par des mères dont la plupart fumaient, récuraient le parquet à quatre pattes, ne faisaient pas la gym' pré-natale, et -ô horreur- buvaient du vin pendant qu'elles étaient enceintes. Vogue la galère, le congé maternité de six mois, mon cul, retour au bercail et au turbin ! On ne 'faisait' pas des gosses avec une pipette, et les seins n'avaient pas de fuite au silicone, d'ailleurs on les cachait volontiers, fallait pas tenter l'diable.
Elles prenaient des aspirines à gogo contre les douleurs monstruelles , mangeaient de la choucroute, de la mayo, des desserts, et n'étaient pas testées tous les semestres pour le diabète ou le cholestérol. Elles n'aplatissaient pas leurs seins entre deux enclumes pour un test anti-cancer; le cancer on l'avait et on mourait. De fait, la plupart d'entre elles sont encore là... ou parties à plus de 85 ans.
Après ce traumatisme sans péridurale elles s'endormaient n'importe où, on les couchait sur le ventre dans des lits temporaires, dans des chambres peintes au plomb. Faut dire qu'il ne leur venait pas à l'idée de bouffer les écailles des vieux murs ni d'envoyer leur mari rosser le toubib à cause de la religion.
Nous n'avions pas ou peu de serrures aux portes. Les fenêtres fermaient mal, on marchait dans le crottin sans vaccination, et la teinture d'iode c'était pour les écorchures. Restaient les pleurs pour les chochottes. Lorsqu'on faisait de la bicyclette, on avait des casquettes, et pas des casques de protection ni coudières
ni tenues en Lycra si suantes... Quelles pistes cyclables ? Vous rêvez ma parole.
Bébés et enfants, on nous emmenait dans de vieilles guimbardes sans clim, sans ceintures ni siège pour bébés ni airbag ni filtre à particules & pollens. Celui qui remuait trop là derrière recevait des baffes ! Pour ceux qu'avaient pas de bagnole (la majorité) y avait le bus ou le tram; aïe marche pas sur mes panards, connard !
Ben ouais, les gosses se levaient pour les vieux...
Être dans la benne arrière d'une camionnette par une belle journée ensoleillée était toujours quelque chose d'extraordinaire, pas un traumatisme. On allait à l'école à pieds, et seuls. Fallait te défendre si un grand t'emmerdait. D'ailleurs y avait pas de psys et l'école ne fournissait pas de soutien moral en cas d'incident à la récré, t'avais pas intérêt à aller cafter. D'un autre côté, les voyous étaient envoyés en maison de correction. On en prenait soin...surtout avec la règle en fer.
A la colo, nous buvions l'eau directement de la fontaine, de l'eau courante, et comme dans les maisons, les tuyaux étaient en plomb. On avait soif, on s'en foutait et elle était bonne, tu crois qu'on avait du pognon pour...un coca ...un quoi tu dis ?
La bouffe ressemblait à celle que t'as connu à l'armée, tu piges ? Mais même comme ça, t'avais intérêt à défendre ton assiette sinon tu faisait ceinture.
At home, nous mangions des gâteaux secs faits par Moman, du pain tranché au couteau façon roue de camion, parfois un peu rassi c'est vrai ( mais ça fait pousser les nénés ), du vrai beurre en motte, du saindoux, du lard, de la confit' pur sucre. Nous buvions du café dans un bol, de l'Ovomaltine, ou du chocolat avec du vrai cacao. Et nous n'étions pas obèses. Sauf un rare spécimen p'tet, qui nous servait alors opportunément de souffre-douleur. Avec lui, au moins, on gagnait à tous les coups
à la récré.
POURQUOI ÉTIONS NOUS PLUS HEUREUX ?
Parce que nous étions toujours en train de bouger, de jouer dehors... Nous sortions de la maison le matin pour jouer toute la journée au grand air, pluie ou pas pluie, à condition d'être revenus quand les lampadaires s'allumaient. Sinon gare à la trempe (et pas celle du ciel).
Nous prenions des heures à construire nos planches à roulettes avec lesquelles nous descendions les côtes, sans freins. Après avoir foncé dans les haies une paire de fois, nous avions appris à gérer les bobos-genoux. Et gare aux déchirures de froc. Nous n'avions pas de Playstation, Nintendo, X-box, iPod... Il n'y avait pas de jeux vidéo, pas 150 canaux au câble, pas de films ou dvd, pas de son stéréo ou de cd, pas de portable, pas d'ordinateur et pas d'Internet. T'aime pas Radio-Luxembourg ? Tant mieux c'est pour les grands, va te coucher ! Non mais !
NOUS AVIONS DE VRAIS AMIS et nous sortions dehors (
belgicisme de mon crû) pour les retrouver, pas des virtuels inconnus sur réseau social ! Nous tombions des arbres, en faisant le parachute, on se coupait, on se cassait des os, des dents et il n'y avait pas de poursuites judiciaires pour cela.
C'ÉTAIT L'BON TEMPS.